Un cri d’alerte et surtout une invitation à la tolérance et à la fraternité.

En quelques secondes la vie d’un homme bascule en enfer.

De la fameuse dictée qui fut le prétexte à son arrestation à la " parade de dégradation " dans la grande cour de l'Ecole militaire ; de l'île du Diable au tristement célèbre procès de Rennes ; du mémorable
J'accuse de Zola à la réhabilitation douze longues années après son arrestation, le capitaine Dreyfus revit et tente de comprendre la catastrophe qui s'abat sur lui.

Grâce à cette démarche intellectuelle, une foi inébranlable en sa patrie et surtout une volonté de fer, il va sortir par l’intérieur de cet enfermement kafkaïen et devenir le premier acteur de sa propre réhabilitation.

Une pièce psychologique donc, pour que, selon l'expression consacrée, "
ça ne se reproduise pas". Ce cri d’alerte est aussi et surtout une invitation à la tolérance et à la fraternité.

D.A, mai 2007.

mercredi 24 décembre 2008

80e ET DERNIERE... avant Drancy, Villefranche et Biarritz en 2010



Après 80 séances, trois "séries" de dates à Paris et en Avignon, LICRA à Beaubourg, Grand Orient de France dans le IXe arrd, festival d'Israël à Jérusalem, Lyon et Drancy (voir ci-dessous les dizaines d'articles et images relatifs à ces diverses représentations), l'aventure Dreyfus suspend momentanément son vol. Elle le reprendra dès février 2010 dans le "grand sud" (Villefranche de Rouergue et Biarritz) et en avril 2010 en région parisienne (Drancy). Nous restons évidemment à l'écoute de toute demande de la part de municipalités ou associations intéressées, en France ou à l'étranger.

Ce fut un immense plaisir pour moi de vous narrer au jour le jour, depuis juillet 2006, le parcours de notre pièce chérie. Merci à vous tous, fidèles, anciens ou nouveaux lecteurs et à très vite pour de nouvelles actualités.

David ARVEILLER