Un cri d’alerte et surtout une invitation à la tolérance et à la fraternité.

En quelques secondes la vie d’un homme bascule en enfer.

De la fameuse dictée qui fut le prétexte à son arrestation à la " parade de dégradation " dans la grande cour de l'Ecole militaire ; de l'île du Diable au tristement célèbre procès de Rennes ; du mémorable
J'accuse de Zola à la réhabilitation douze longues années après son arrestation, le capitaine Dreyfus revit et tente de comprendre la catastrophe qui s'abat sur lui.

Grâce à cette démarche intellectuelle, une foi inébranlable en sa patrie et surtout une volonté de fer, il va sortir par l’intérieur de cet enfermement kafkaïen et devenir le premier acteur de sa propre réhabilitation.

Une pièce psychologique donc, pour que, selon l'expression consacrée, "
ça ne se reproduise pas". Ce cri d’alerte est aussi et surtout une invitation à la tolérance et à la fraternité.

D.A, mai 2007.

lundi 24 novembre 2008

Deux dates exceptionnelles cette semaine

Une représentation spéciale LICRA à Paris, une autre à Drancy suivie d'un débat sur les suites de l'Affaire animé par le professeur Drouin en présence d'une arrière petite fille du capitaine Dreyfus et ce, à 500 m de l'emplacement du tristement célèbre camp de concentration nazi...

Débat à Drancy (de gauche à droite: Alfred et Lucie Dreyfus aux côtés du Secrétaire général de la Société int° d'histoire de l'Affaire Dreyfus)





(photos: Gérard Graillot)