Un cri d’alerte et surtout une invitation à la tolérance et à la fraternité.

En quelques secondes la vie d’un homme bascule en enfer.

De la fameuse dictée qui fut le prétexte à son arrestation à la " parade de dégradation " dans la grande cour de l'Ecole militaire ; de l'île du Diable au tristement célèbre procès de Rennes ; du mémorable
J'accuse de Zola à la réhabilitation douze longues années après son arrestation, le capitaine Dreyfus revit et tente de comprendre la catastrophe qui s'abat sur lui.

Grâce à cette démarche intellectuelle, une foi inébranlable en sa patrie et surtout une volonté de fer, il va sortir par l’intérieur de cet enfermement kafkaïen et devenir le premier acteur de sa propre réhabilitation.

Une pièce psychologique donc, pour que, selon l'expression consacrée, "
ça ne se reproduise pas". Ce cri d’alerte est aussi et surtout une invitation à la tolérance et à la fraternité.

D.A, mai 2007.

lundi 6 octobre 2008

Prochaine date de tournée: DRANCY le 20 novembre.

Le maire de Drancy, ville de mémoire oh combien! symbolique, a choisi comme adjoint en charge de la Culture un homme ouvert et engagé, qui a vu la pièce cet été en Avignon et a souhaité la faire jouer dans le théâtre municipal de 400 places au sein de l'Espace culturel du parc ("Le bateau"), en partenariat avec le Conseil général de Seine-Saint Denis.

Nous nous y transporterons donc le 20 novembre prochain à 20h30 et, à la demande de la ville, nous organisons un débat après la représentation. Principal intervenant: notre ami le professeur Michel Drouin, considéré comme une sommité et membre du comité scientifique de la pièce depuis l'origine.
Sujet de ce débat: "L'Affaire a t-elle vraiment pris fin le 12 juillet 1906?"